Tels des oiseaux désemparés,
Ils se sentaient mal dans leurs peaux,
Cessant même de respirer,
Et personne ne soufflait mot,
Toutes et tous furent en osmose,
Quand â la station balnéaire,
Ils jetèrent la belle rose,
Au large de la Cotinière,
Après dispersion des cendres,
En hommage au cher disparu,
Dans l’océan, ses méandres,
La fin d’un chemin parcouru,
Repose en paix dans ses vagues,
Suivant tes dernières volontés,
Tu es passé c’est une blague,
Mais c’est pas notre tasse de thé,
La mer est ton sanctuaire,
Saches que tu vis dans le cœur,
De ceux qui t’ont aimé hier,
Aucun océan tous en choeur,
Le point final n’existe pas,
Si tu as rejoint le néant,
Nous aussi marchons sur tes pas,
Mais où sont nos neiges d’antan.
Magnifique émouvant un texte fort sr la douleur le chagrin la mort bravo
Belle soirée douce nuit amicalement
Bea
Bonsoir Béatrice merci pour votre commentaire! Amitiés poétiques. Pierre
Quel douloureux et superbe texte, Pierre…!
Merci Gislaine oui je l’ai écrit pour un ami très cher!
Merci beaucoup!
Pierre,
Ce poème me touche personnellement, il me rappelle beaucoup de souvenirs et je suis contente de le voir sur ton site. Cet adieu est très touchant .
Je t’ embrasse
Jacqueline
Je me devais de le mettre sur mon site! j’ai attendu un peu que le temps passe car c’était trop douloureux.
Bises et affectueuses pensées. Pierre