Il épouse toutes celles,
Qui se jettent dans son lit,
Caresse leurs dentelles,
Et boit jusqu’à la lie,
L’eau vive des rivières,
Qui rejoignent l’estuaire,
Quand il est mécontent
C’est l’air marin qu’il hume,
Par les jours de gros temps,
En crachant son écume,
Un incessant ballet,
Qui danse sur les galets,
Combien de matelots,
Se sont ainsi perdus,
Enlevés par les flots,
Ne sont pas revenus,
Mais quand le ciel est bleu,
Et qu’il est amoureux,
Il regarde passer,
Les jolis bateaux blancs,
Qui viennent déstresser,
Sur son bel océan,
Et glissent sur son flanc,
Comme des poissons volants,
Il porte plusieurs noms,
Arctique ou Atlantique,
Et qu’il le veuille ou non,
Indien ou Antarctique,
Mais quand c’est pacifique,
Là c’est plus idyllique,
Que son Dieu soit Neptune,
Ou bien Poséidon,
Connaît le poisson-lune,
Aussi Amphitryon,
Enfin toute sa vie,
Aura la nostalgie,
Des vagues et des tempêtes,
Des combats que se livrent,
Les hommes qui s’entêtent,
Enfin pouvoir vivre,
Je parle des migrants,
Et c’est bien affligeant.
rectif ( passent ) peu )
Ps
belle journée mon ami v bises amitiés poétique
Merci pour votre commentaire Béatrice; amitiés poétiques! Pierre
Bonjour Pierre un magnifique poème touchant merci
Les migrants passe l’océan
ou ils trouvent le néant
avalés pas les vagues
ils meurent fuyant le bague
celui d’une guerre indigne
comme les hommes qui ne sont pas dignes
digne d’êtres des sauveurs
ils ne veulent pas donner leur coeur
à ceux qui ne demande qu’un peux de bonheur
Un joli poème que je ne connaissais pas merci! Au plaisir de vous lire. Pierre
Un texte magnifique, tout en puissance, à l’image même de l’océan…J’adore !
Un poème difficile à traiter mais le résultat est là et je vous remercie d’apprécier Gislaine. Amitiés. Pierre