Toi qui souffres,
Dans ton grand lit de misère,
Dans ton gouffre,
Je veux t’apporter la lumière,
Toi qui marches,
Sur cet étroit chemin de pierre,
Patriarche,
Refaits le chemin à l’envers,
Moi qui ne suis,
Qu’un petit peu de poussière,
Moi je te suis,
Car je deviendrai poussière,
Toi qui souffres,
Dans ton grand lit de misère,
Sors du gouffre,
Depuis le temps je désespère,
Lorsque tu dors,
Perdu très loin dans le désert,
Elle est en or,
La parole de tes frères,
Moi je souffre,
De te voir ainsi agité,
Dans ce gouffre,
Qui peut être l’éternité,
Toi qui souffres,
Sache que je veux t’apporter,
Dans ton gouffre,
L’amour et la fraternité,
Si tu souffres,
De la douleur au désespoir,
Si tu souffres,
Ami il faut garder l’espoir,
Tu es vivant !
Oui Jacqueline je l’avais mis de coté! Merci je t’embrasse.
Pierre,
je pense ne pas me tromper, et savoir pour qui tu as écrit ce poème , merci de l’avoir édité
car il prouve ta sincère amitié pour lui
Je t’embrasse
Jacqueline
Je pense savoir pour qui tu as écrit ce poème, je ne pense pas me tromper, merci à toi de l’avoir publié, il est très émouvant.
Je t’embrasse
Jacqueline
Un magnifique poème qui traite d’un sujet douloureux, où on se sent démuni face à un ami qui souffre…..
Oui Claudine j’ai écrit ce texte il y a quatre ans je ne l’ai déposé que maintenant! Amitiés.Pierre
Bonjour mon ami Pierre
Un poème émouvant et touchant à ton ami c’est le cœur de l’amitié qui réchauffera ton ami d’espoir et la force de se battre puisque tu es là pour lui
Douce semaine je t’embrasse
Merci Béatrice belle fin de journée et belle semaine également!Bises. Pierre