« La petite fiancée de l’Atlantique »
Le visage buriné,
Par la vie et les embruns,
Parmi les flots déchaînés,
Saluons le grand marin,
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Que vous étiez Flo Arthaud,
Vous aimiez tant l’océan,
Mais vous partîtes trop tôt
À cinquante-sept printemps,
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Vous aviez pris tant de risques,
Mythique route du rhum,
Le record de l’atlantique,
Vous conduiront au podium,
–
Mais sur le sol argentin,
Lors d’un tournage manqué,
On se senti orphelins,
« Pierre1 » lui resta à quai,
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Là aux îles de Lérins,
Dormez en paix solitaire,
Au panthéon des marins,
Maudit soit l’hélicoptère.