Il s’en va la fleur au fusil,
Un œillet à la boutonnière,
Dans son cœur, des roses trémières,
Et s’adonne à la poésie,
Il aime l’amour et la dentelle,
Les Belles dames du temps jadis,
L’histoire d’Orphée et d’Eurydice,
Accumule des péchés véniels,
Mais n’aime pas les militaires,
S’endort avec les Fleurs du Mal,
Et vois des aurores boréales,
Car son âme a quitté la terre,
Il dit que le pas cadencé,
Surtout le quatorze juillet,
Ne fait pas vraiment avancer,
Il préfère sa belle fleur d’œillet,
Et ainsi ouvrir d’autres portes,
Dans sa quête à la belle étoile,
L’inaccessible sur la toile,
Qu’il cherche ce qui le conforte,
Il souhaite construire des ponts levis,
Etre le passeur de lettres,
Pour partager et pour transmettre,
Mordre dans le fruit de la vie,
Rêve d’être le Petit Prince,
 la recherche des planètes,
Qu’il ne trouve pas sur le net,
Alors préfère sa province,
Il voulait épouser la mer,
Au dernier moment a eu peur,
De passer pour un déserteur,
Alors il a relu Homère,
La poésie des origines,
Et œillet à la boutonnière,
S’en est allé tout comme hier,
 la quête de sa Colombine,
Son jardin extraordinaire,
Le mène jusqu’à une source bleue,
Au joli bois des amoureux,
Ou là bas il se désaltère,
En jurant que la Madelon,
Ne peut pas lui servir à boire,
Car ayant eu quelques déboires,
Il préfère sa Janeton.
Bonsoir
C’est une sublime poésie
Une écriture subtiles et bien construire
De beaux vers
Douce nuit bisous amitiés
Béa
Merci Béatrice c’est un plaisir de lire vos commentaires. Amitiés. Pierre