J’ai rencontré le Petit Prince,
Dans la galaxie des provinces,
Un jour que je perdais l’espoir,
De ne jamais plus la revoir:
« Je sais que tu viens d’une planète,
Où les hommes chaque jour s’inquiètent,
Se sentent mal, ne peuvent s’aimer,
Leurs cœurs pourtant restent enflammés,
Certains sont doux comme les moutons,
Me confie t-il d’un drôle de ton,
Je t’emmène faire un grand voyage,
Car il est grand temps vu ton âge,
De découvrir toutes ces planètes,
Que tu ne vois pas sur le net,
Les nombreux couchers de soleil,
Il y a ici des merveilles,
Des roses qui poussent sans épine,
Il y en a mêmes de très fInes,
Qui perlent chaque matin de rosée,
Si tu sais les apprivoiser,
Soudain je vis couler des larmes,
C’était un garçon plein de charme,
Je suis de Saint-Exupéry,
Dans son Bréguet en vol de nuit,
Il disparut dans une tempête,
Je le recherche et je m’inquiète,
Toi mon grand ne reste pas là,
Tu as bien mieux à faire voilà,
Que le vent lève sur les maïs,
Il faut retrouver Anais,
Tu lui dessineras une rose,
Un renard un mouton ose,
J’ai mon Bréguet des vols de nuit,
Je suis de Saint-Exupéry. »
Bonjour Pierre j’adore c’est charmant et chantant un belle poésie qui nous renvoie une belle métaphore entre rêve, peur, espoir en tes vers fleurissants
Douce journée je t’embrasse Amitié
Béa
Je suis toujours ravi de vous lire Béatrice! Douce soirée! Mes amitiés. Pierre