Coucher de soleil sur la Seine,
Le Pont Flaubert s’est enflammé,
C’est un drôle de phénomène,
Avec des roses sublimés,
J’ai la lumière dans les yeux,
Le ciel dégradé a changé,
Je vois encore un peu de bleu,
Reste la couleur orangée,
–
Un filet d’ambre sur le fleuve,
Rejaillit tout en murmurant,
C’est sans doute là bien la preuve,
Que l’astre s’enfonce en brûlant,
La lune souriante allume,
Tous les cent clochers de la ville,
Il monte du fleuve une brume,
Bonnes gens dormirez tranquille,
–
Difficile de bien décrire,
Ce que je découvre à l’instant,
Rien de rien ne pourrait suffire,
Fleuve tu es resplendissant,
Le pont Flaubert s’est allumé,
Coule coule ma jolie Seine
Disparus roses sublimés
Mais ton nom rime avec Verlaine.
En 1831, Victor Hugo, dans son recueil de poèmes Les feuilles d’automne parla pour la première fois des cent clochers concernant la ville de Rouen. On peut lire : « Amis ! c’est donc Rouen, la ville aux vieilles rues, aux vieilles tours, débris des races disparues, la ville aux cent clochers carillonnant dans l’air. »
Bonjour Pierre
magnifique poésie comme un soleil rouge
Flamboyante de mille couleurs qui bouge
Sur l’eau dansent les reflets du soleil couchant
Paris devient un tableau troublant
Que le regard ébloui d’un enfant
Brille d’émerveillements
Merci de cette belle lecture
bonne et douce journée
Mes amitiés
Béa
Merci Béatrice un coucher de soleil sue la ville aux cent clochers qui je pense plairait à Gustave Flaubert et ses amis
écrivains.Belle soirée mes amitiés également. Pierre