Qu’ils viennent d’Espagne ou qu’il soient de sable,
Les fragiles châteaux, restent infranchissables,
Car lorsque les vagues, atteignent le rivage,
Le vieil océan, marque son passage,Leurs souvenirs restent, ancrés sur la dune,
Lorsque nous pensons, rêvons à la brune,
Sans se noyer dans, les sables mouvants,
Restent quelques grains, dans l’coeur des enfants,
Celui des amants, qui s’aiment sur la grève,
Et qui bien plus tard, garderont en rêve,
Ces tous petits grains, qui glissent dans leurs mains,
Faute de ne pouvoir, faire de lendemains;Moi j’ai conservé, quelques grains de sable,
Précieusement, dans mon vieux cartable,
Pour les emmener, dans mes p’tit nuages,
Là où l’océan, ne fait pas ravage.
Bonjour Pierre c’est beau doux tel un souvenirs dans ton cœur d’enfants
Une poésie qui met le Lecteur un instant sur la plage en un rêve éphémère que tes mots glissent doucement comme une caresse d’été
Douce journée je t’embrasse
Béa
Bonsoir Béatrice merci infiniment pour ton beau commentaire ! Beau week-end !