Loin des lumières de la ville.
Qui sont chères à Charlie Chaplin,
Tout le monde ici vit tranquille,
Beaucoup de pluie mais pas de spleen,
Alors que dans notre village,
Nous n’entendons pas les cigales,
Mais on trouve dans les feuillages,
Des escargots, c’est un régal,
Si le vent souffle c’est du ch’nord,
Il est bien souvent enivrant,
Et les blés en perdent le nord,
Mais ce n’est pas le vent d’autan,
Notre terre est douce et normande,
Certains matins éblouissants,
Ce petit texte est une offrande,
Pour ces paysans chancelants,
Qui gardent l’amour de leurs terres,
Avec des histoires de clochers,
Ils ont un sacré caractère,
Restent attachés à leurs rochers,
Ici on fait des centenaires,
Loin des lumières de la ville,
Au beau pays du camembert,
Et du cidre de Longueville,
Loin des lumières de la ville,
Qui sont chères à Charlie Chaplin,
Tout le monde ici vit tranquille,
Beaucoup de pluie mais pas de spleen.
Bonjour Pierre
Un sublime texte
Au pays du camembert
loin des villes lumières
la vie coule sur la mer
Douce semaine bisous l’ami
Béa
Bonsoir Béatrice avec du retard je vous remercie pour votre beau commentaire. Douce soirée.