Sur le chemin le vent relève tes cheveux,
Découvrant peu à peu le cerne de tes yeux,
Une larme s’écoule de facettes bijoux,
C’est une larme de joie qui coule sur ta joue,
Moi je voudrais t’aimer jusqu’à la fin du monde,
Afin que nous puissions faire une belle ronde,
Ensemble à quatre temps pour nous donner le la,
Sachant qu’un jour le temps passera bien par là,
En attendant vivons ce qui nous est donné,
La vie saura bien elle, nous faire un pied de nez,
Autour de moi je sens de très bonnes ondes,
Je crois qu’on s’aimera tant qu’la terre est ronde,
Sur le chemin le vent relève tes cheveux,
Découvrant peu à peu le cerne de tes yeux,
« Qui connaît le chemin ne se fatigue pas »,
Je reste à tes cotés et marche sur tes pas.
Encore un que j’ aime , tu as un don pour les poèmes
Merci c’est gentil Jacqueline, gros bisous!