Quand j’me promène le long d’la Seine,
Moi mon amie j’pense à Verlaine,
Puis aussi à Apollinaire,
Coulent nos amours et nos misères,
Sur la chanson de Jacques Prévert,
Au pays de Gustave Flaubert,
Elle a bien d’la chance notre Seine,
Elle court sous les ponts se promène,
Pour aller rejoindre Paris,
Le zouave en passant lui sourit,
Quand j’me promène le long d’la Seine,
Je pense à Émile Verhaeren,
À Gericault à Fontenelle,
À Boieldieu, Armand Carrel,
Coulent nos amours et nos misères,
Notre Seine est hospitalière,
Au pays de Gustave Flaubert,
Me vient une chanson de Prévert,
Qui ne cesse de revenir,
Me rappelle à ton souvenir,
À nos promenades dans la ville,
Aux cents clochers d’un pas tranquille,
On évoquait le Père Hugo,
Georges Brassens et sa Margot,
Je parlais de François Villon,
En caressant ton cotillon,
Et rêvait de « la pomme de pin »,
Où nous attendaient les copains,
Coulent nos amours et nos misères,
Restent les souvenirs d’hier,
Et la chanson de Jacques Prévert
Au pays de Gustave Flaubert…
Bonsoir je suis sous le charme de ce magnifique poème mon cher Pierre un magnifique hommage aux grands poètes
Merci pour cet écrit magistral
Douce soirée
Bonsoir Béatrice, je suis ravi de te lire. Merci infiniment pout ton délicieux commentaire. Rouen est un vivier de poètes et bien sur il y en a d’autres et particulièrement les frères Corneille etc Douce soirée également. Amitiés.Pierre