Poussées par un doux vent, les feuilles tourbillonnent,
Viennent se poser sur, la terre nourricière,
Qui tôt a revêtu son bel habit d’automne,
Afin de résister à des gelées sévères,
–
L’arbre se dénude, comme ses congénères,
Mon chêne et mes thuyas ne portent pas le deuil
Ils gardent leurs feuillus, et cherchent la lumière,
Attendant le printemps, tout le reste s’effeuille,
–
Repos végétatif, après cette dormance,
Viendra le temps des fleurs qui fait vibrer mes sens,
Je sais que chaque année reviendra l’alternance,
Qui donne au jardinier la belle récompense.
Bravo j’aime ce poème
Bises
Jacqueline
Merci d’apprécier. Bisous. Pierre