Peinture : Albert Lebourg-Rouen
J’ai grandit prés de la seine,
A l’ombre des cents clochers,
Alors moi j’ai pris la peine,
De lui rester attaché,
Dans mes veines coule la seine,
Depuis la petite enfance,
Impétueuse son corps de reine,
A nourrit mes espérances,
Si je lui fus infidèle,
Je suis de retour enfin,
C’est sans doute à cause d’elle
Qu’il n’ya pas de clap de fin,
Dans mes veines coule la seine,
Vers la mer ou tout s’enfuit,
Impétueuse son corps de reine,
La fait sortir de son lit,
Car la seine est une amante,
Qui aime son océan,
Et seule une idée la hante,
Aller revoir son géant.
Peinture : Albert Lebourg-Rouen
Un bel attachement à ses racines et Paris est si beau.
Merci beaucoup, ravi de vous lire sur mon site.Amitiés.
Encore un très joli poème que tu as écrit et qui laisse passer ton attachement à ta jolie ville de Rouen et à son fleuve la Seine
Bises
Jacqueline
Ravi de te lire Jacqueline merci Gros bisous et à bientôt. Pierre
Ouah j’adore c’est original sensuel un peu comme mon poème sur Venise intitulé l’amour impossible
douce soirée Pierre mes amitiés bises
Béa
Bonsoir Béatrice ravi de vous lire sur mon site! Je vous envoie mes amitiés.Pierre