Ils n’aiment pas marcher au pas,
Mais se suivent tous pas à pas,
Jamais les moutons ne s’égarent,
En troupeau c’est l’enfance de l’art,
Pourtant ils sont bien différents,
Certains veulent sortir du rang,
Ils s’imitent et se rassemblent,
Pourtant ils ne se ressemblent
Pas, certains même se câlinent,
Par imitation s’agglutinent,
Les moutons dits de Panurge,
Il leur faudrait une purge,
Retrouver leur identité,
Perdue à force d’imiter,
Les autres sans discernement,
Ils se suivent tous bêtement,
Pour être à la mode ils sont snobs,
Parfois ils sont xénophobes,
Éliminant tous sens critique,
Sans garder l’esprit de critique,
Un joli troupeau de mouton,
Qui nous suit comme le chien Riton.
Bêlant c’est l’enfance de l’art
Mais au grand jamais ne s’égare.
Comme toujours tes poèmes Pierre sont pour moi un réconfort, j apprécie beaucoup les mains de Grand Mémé , Sonnet pour l’ automne, celui ci et bien d’ autres je ne peux tous les citer
Bien à toi et continue de nous émerveiller
Jacqueline
Je te remercie Jacqueline pour ton délicieux commentaire qui m’incite à continuer d’écrire mes petits poèmes! Merci de ton soutien et gros bisous. Une caresse à ta petite Lola! Bises.Pierre