Faisant peau neuve chaque saison,
Un beau matin Mam’zelle Lison,
Se prit un jour d’une passion,
Pour un jeune et bel Apollon,
Elle avait un grand coeur Lison,
Coeur d’artichaut en déraison,
Cherchait les fruits de la passion,
Les yeux fixés sur l’horizon,
Mam’zelle Lison, Mam’zelle Lison,
Vous aimez bien trop les garçons
Mam’zelle Lison, Mam’zelle Lison.
Vous en changiez à chaque saison,
Victime d’une grande trahison,
On la vit en plein abandon,
Mais dans le p’tit cœur de Lison,
Pas possible de guérison,
Après rupture de liaison,
Elle vécut très mal sa passion,
Et perdit ma foi la raison,
Ne connaissant plus de saison,
Mam’zelle Lison, Mam’zelle Lison,
Vous qui ne disiez jamais non,
Mam’zelle Lison, Mam’zelle Lison.
Vous la marchande des quatre saisons,
Nous t’aimions bien petite Lison,
Et aux premières floraisons,
Nos pensées sont pour toi Lison,
Marchande des mortes-saisons.
Bonjour Pierre j’adore ce poème chantant à l’oreille en rimes uniques qui accompagne superbement le tableau
Merci du partage
Douce après midi
Je t’embrasse
Béa
Ravi de vous lite Béatrice!Merci!