Quand le soleil pâlît,
Et que la rose soupire,
Jardin en lléthargie,
Moi je vais la cueillir,
Afin de te l’offrir,
Et ainsi te fleurir,
Tu es comme un soleil,
Dans les bois de mon cœur,
Tu es une merveille,
Au jardin de mes fleurs,
Tu brilles sans le savoir,
Sans t’en apercevoir,
Quand le soleil pâlit,
Et que toi tu soupires,
Jardin en léthargie,
Alors je crains le pire,
Et c’est l’apothéose,
Quand je t’offre la rose.
sublime un texte beau comme un rose éclose
Merci pour votre délicieux commentaire Béatrice Montagnac! 😀