L’absence d’un être cher, rend nos matins chagrins,
Bien que tristes peuchère, il faut rester serein,
Continuer le chemin, je pense à l’avenir,
Si je te prends la main, c’est pour te soutenir,
Le souvenir revient comme un oiseau d’passage,
Les souvenirs communs, comme les oies sauvages,
Temps adoucit les peines, chasse les souvenirs,
Mais ne rompt point les chaines, pour les jours à venir.
Coucou Pierre magnifique poème émouvant que j’ai aimé lire douce soirée cher ami
Avec du retard merci beaucoup Béatrice!