Je le vois chevaucher sur son cheval mustang,
Avec ses dépressions, son changement de temps,
Le moment de cueillir les jaunes tournesols,
Un cortège de feuilles qui tombent sur le sol,
Et si les couleurs changent, en apaisant nos sens,
Madame la nature sera vite en dormance,
L’arrière saison s’en vient, chez nous tambour battant,
L’arbre pleure ses feuilles, nous nos rêves d’antan,
Qu’il soit été indien ou de la Saint Martin,
J’ai bien vu ce matin que l’automne revient,
En entendant le cerf qui bramait sous la lune,
Il nous faut maintenant accepter la saison,
Nous n’avons pas le choix restons à la maison,
Il faut de temps en temps s’occuper de sa brune.
Je vous répondrai bien par un poème,
Mon cher Pierre,
Pour vous dire à quel point j’aime
Ce texte qui sent bon la terre.
Il est sans doute bien malvenu
De vous répondre ainsi,
Mais au risque de paraître saugrenue
Je me lance aussi.
Parce que ce n’est pas un crime,
Et bien que maladroites,
Je vous offre ces quelques rimes
Sorties tout droit de ma petite boîte.
Merci pour votre commentaire qui est un joli poème
Que j’apprécie et je trouve vos petites rimes qui sortent
De votre petite boîte bien sympathiques! Pierre
Sublime comme a votre habitude !!
je me délecte de chaque mot !!!
Merci pour votre délicieux commentaire Annie, vous êtes une fidèle lectrice!